mardi 25 décembre 2012

Bain de sable zagora Le Miracle


Bain de sable zagora Le Miracle


Maroc Story :Zagora. Sur la route de l’aéroport, un désert à perte de vue porte le voyageur vers l’horizon. A quelques jours de la saison estivale, la température dépasse déjà les 35 degrés. C’est à ce moment de l’année où l’on commence à se préparer, ici, à accueillir des baigneurs d’un autre type. Des amateurs de bain de sable chaud viennent tout simplement se faire soigner par les méthodes les plus traditionnelles. Et s’ils sont plusieurs à le faire, c’est parce qu’ils ont beaucoup entendu parler de miracles.
Partout à Zagora, on vous racontera l’histoire de cette Française qui se déplaçait sur une chaise roulante avant de plonger ses jambes dans le sable chaud du désert. Elle a recommencé à marcher, soutenue par des béquilles qu’elle finira, très rapidement, par s’en débarrasser. «Elle n’a jamais quitté Zagora, depuis qu’elle a retrouvé l’usage de ses jambes. Elle est restée fidèle aux sables guérisseurs», raconte avec enthousiasme Mohamed Ouyatouali, originaire de Dadès. C’est lui l’ange gardien de ces dunes de sable qu’il transforme, avec l’aide d’autres membres de sa famille et d’ouvriers, en un campement d’accueil des estivants. «Là-bas, c’est le parking, et à quelques pas, les douches. Et puis, tout autour, on dresse trois grandes tentes où peuvent patienter les clients et se reposer après leur séance en sirotant un verre de thé bien de chez nous !», explique l’homme en bleu qui a pris place dans ces lieux depuis douze ans. En ce moment, seul son jeune frère, Ydir, l’a rejoint, après avoir terminé ses examens, pour accélérer les préparatifs.
Muni d’une pelle, le jeune homme commence à creuser le sable dès qu’un taxi s’approche. «Ici, les taxis ne circulent pas, sauf lorsque c’est un client qui le leur demande», précise Mohamed. Cela devient donc un réflexe : dès qu’un véhicule de couleur jaune s’arrête, Mohamed arrive en courant pour accueillir le client, s’informer auprès de lui des raisons pour lesquelles il a opté pour le bain de sable et lui servir de guide. «Ah ! C’est très important d’avoir toutes les indications nécessaires sur le client. Vous savez, ces bains de sable ne sont pas toujours recommandés pour certains cas», dit-il, prenant un ton plus sérieux. C’est que Mohamed a eu pas mal de mauvaises surprises dans l’exercice de cette médecine traditionnelle qu’il en a fait une leçon. «Il y a quelques années, un vieil homme est venu se faire soigner, ici. Or, il était tellement faible sur le plan physique que j’ai eu des doutes.
Alors, bien avant de lui accorder son vœu de se faire enterrer dans le sable, je l’ai emmené chez un médecin qui m’a appris que le client était mourrant et qu’il n’y avait plus rien à faire. J’ai gardé la prescription dans ma poche et c’est grâce à ce bout de papier que je me suis tiré d’affaire», se rappelle-t-il. Le client en question a eu un arrêt cardiaque tout juste après avoir quitté les dunes. Mohamed allait être arrêté s’il n’avait pas montré la preuve du médecin. Précaution oblige ! Mohamed devient «un parano» en la matière.
Les cardiaques, les diabétiques et les personnes hypertendues et/ou physiquement faibles ne sont pas « les bienvenus ». Ne le prenez-pas mal, c’est une question de vie ou de mort, comme vous pouvez le constater. Alors pour qui ces bains de sable et comment en profiter ?  Selon le gardien des lieux, la thérapie par le sable chaud est la plus indiquée aux personnes souffrant d’un rhumatisme, donc, des douleurs articulaires, ou à ceux qui veulent perdre du poids. «La saison démarre, en principe, en mi-juillet et se poursuit tout au long d’un mois.
Les clients suivent des séances de 4 à 7 minutes chacune, deux fois par jour et à une heure d’intervalle, pour permettre au corps de se reposer», souligne Mohamed. Durant les intervalles, entracte, les clients sont conviés à prendre un thé épicé où se trouve mixé un ensemble d’herbes aux propriétés curatives, dit-on. Et avant de quitter les lieux, c’est un second verre de thé local qu’on offre au client, question de courtoisie. «J’ai installé le château d’eau que vous voyez là-bas, pour mettre en place les douches et permettre aux clients de partir satisfaits», tient à faire remarquer Mohamed avant d’ajouter qu’il serait meilleur de ne pas prendre de douche après cette thérapie au moins trois jours successifs : «Ce sont de grands spécialistes casablancais en médecine qui me l’ont affirmé. Mais, les clients, dans leur majorité, préfèrent se doucher pour continuer leur route en voiture».
Mohamed assure que la chaleur du sable agit sur les douleurs articulaires et fait fondre la masse graisseuse. «Parfois, on reçoit des diabétiques qui souffrent d’un rhumatisme, mais, pour les soulager, on ne les enterre pas dans le sable, comme les autres, on met juste une ceinture de sable autour de l’endroit concerné», tient-il à clarifier.
Ces bains de sable deviendront dans quelques jours un lieu de pèlerinage. En plus des Marocains, les Italiens, les Américains, les Anglais et les Allemands rejoignent la file d’attente. «On partage la zone en deux : une pour les femmes, et l’autre pour les hommes… Mais, le score d’affluence, ce sont les femmes qui le détiennent !», s’exclame Mohamed, un sourire aux lèvres. Côté tarif ? Mohamed n’a pas de réponse, il affirme que cela reste lié à la générosité des clients. Pas de prix fixe, c’est le résultat qui en est tributaire. Si vous êtes de passage à Zagora, et surtout tentés, de10h30 à 16h, bienvenue aux sables dorés sur la route de l’aéroport !

lundi 24 décembre 2012

Tajin marocain

Si vous veines au Maroc il faut que vous goûtiez au fameux Tajin marocain







Le tajine, ou tagine (substantif masculin1), désigne, d'une part, un ustensile de cuisine traditionnel du Maghreb, plat de cuisson creux en terre cuite vernissée, surmonté d'un couvercle conique, et d'autre part, une préparation culinaire originaire du Maroc2, cuite dans cet ustensile, sorte de ragoût cuit à l'étouffée, qui peut être composé de viande, de volaille ou de poisson, de légumes ou de fruits.
                                               Maroc Ville Ouarzazate


La région de Ouarzazate , qui a toujours attiré l'attention de nombreux historiens , reste encore une énigme pour eux.
 Cependant certaines recherches archéologiques effectuées ont prouvé l'existence de divers civilisations qui auraient vécu dans cette région; ces même recherches ont prouvé aussi une occupation humaine très ancienne : en y a trouvé des gravures rupestres témoignants des temps préhistoriques.
 La région de ouarzazate semble avoir été le point de rencontres commerciales avec plusieurs pays du Nord et du Sud du continent , Aussi d'autres intérêts économiques , recherche de l'or et d'autres métaux , auraient déterminé l'établissement de marchands de différents nationalités et religions dans cette partie du pays formation de petits royaumes juifs ce qui a favorisé son expansion à une certaine époque.
 c'est à partir du milieu du VIII° siècle que l'extension de la révolte kharijite et l'apparition des Idrissides s'opposaient à l'autorité des khalifats de Damas d'où la fondation de Sijilmassa à Tafilalt et la décadence des anciennes villes de Todgha et de Ziz.
 La province de Ouarzazate servait alors de voie de passage aux caravanes transportant les marchandises qui arrivent du Soudan et de Sijilmassa et sont dirigés vers le nord de l'atlas ( Marrakech / Fès) et vers Tlemcen.
ouarzazate était alors le coeur du Maroc où un commerce renommé et florissant a voulu une relance économique pour le pays.
 Dès la seconde moitié du XIII° siècle , les Arabes Maâquils se sont infiltrés dans toutes les provinces du Sud marocain à l'exception des zones montagneuses leurs méfaits s'accroissaient ébranlant les organisations sociales qui régissaient toutes les provinces du sud et qui ont été remplacées par l'anarchie , l'exploitation chantée et brutales des arabes.
 Même la région de Ouarzazate a subit le jonc des Arabes qui occupaient alors le pays et ses alentours
" les gens des qsours payent ces Mâaquils pour qu'ils les aident à se battre entre eux " .P69 D.J.M , le Maroc Sahariens des origines à 1670 ,
 A l'époque Saâdienne , la région revit encore et connut un essor économique et culturel favorisé par le développement des échanges transsahariens.
 Mais après la disparition d'Elmansour et la déviation littoral atlantique au profit des européens , l'activité de la région se détériora.
vint alors la dynastie chérifienne Alaouite , la région connut une eré nouvelle et resta fidèle au trône.
Avec l'arrivée des troupes coloniales dans la région , les habitants prennent conscience que l'unité du pays était en danger . Aussi toutes les populations du Maroc Sahariens y firent face et refusent l'influence colonialiste.
 On comprend alors l'accueil avec ferveur réservé à l'avènement de l'indépendance lors de la visite inoubliable du feu Sa Majesté Mohamed V aux régions du Sud en 1958.
 Ensuite , vint la visite du Feu Sa Majesté le Roi Hassan II en 1962 qui donna beaucoup d'espoirs à la population du sud sa deuxième visite effectuée en 1966 S.M.R Hassan II donna son accord et approuva la construction du Barrage Elmanssour Eddahbi qui donna un nouveau souffle pour cette région dans le domaine de l'agriculture .

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Tradition Marocain
le Couscous



Le couscous, plat national  au Maroc et dans les pays du Maghreb, est en train de devenir un plat universellement reconnu et apprécié.

Les historiens sont partagés sur l’origine exacte du couscous, certains d’entre eux affirment  qu’à l’instar des pâtes, il serait originaire de Chine, d’autres d’Afrique de l’est, mais la thèse la plus répandue et la plus plausible est celle de l’apparition du couscous en Afrique du nord, où des fouilles archéologiques ont révélé la présence d’ustensiles de cuisine datant du IXème s
iècle qui ressemblent très fortement à l’outil  principal de cuisson du couscous qui est le couscoussier.

L’expansion du couscous s’effectua grâce aux  conquêtes arabo-musulmanes à partir du XIème , au développement commercial que connut cette région, cette expansion fut accélérée par le développement des cultures de blé dans cette région.

C’est ainsi que le couscous fut amené et répandu en Afrique sub-saharienne , en Andalousie et dans le pourtour méditerranéen  en général, François Rabelais, écrivain  français du XVIème siècle déclara avoir goûté  en Provence un  « Coscoton à la Moresque ». L’Amérique du Sud fit connaissance avec le couscous par l’intermédiaire d’une colonie portugaise venant du Maroc.
L’expansion du couscous s’est poursuivi et à connu une importante poussée durant le XXème siècle grâce aux vagues successives d’immigration depuis l’Afrique du Nord vers de nombreux pays européens et en particulier en France ou ce plat est devenu au fil des années très populaire à tel point que différents sondages ont révélé que le couscous occupe la seconde place parmi les plats préféré des français !
Que de chemin parcouru pour ce plat, qui caractérise tellement la cuisine nord-africaine et la cuisine marocaine en particulier. Le Couscous demeure aujourd’hui l’un des rares mets qui gardent une part de mystère et d’intrigue de par la richesse de son histoire, de magie de son goût.


Maroc Ville  Marrakech.
Monument Kasbah Aït Arbi Dadès





Maroc Ville  Marrakech.
Monument  Jemaa el-Fna 





Jemaa el-Fna (en arabe : جامع الفناء, littéralement en français : « assemblée des trépassés ») est une place située àMarrakech à côté de la mosquée Koutoubia. Ce haut-lieu touristique attire sans cesse plus d'un million de visiteurs venus pour assister aux spectacles animés par les charmeurs de serpents, les dresseurs de singes, les conteurs, les musiciens et d’autres artistes populaires (jeux, dessin au henné, etc...) du début de soirée jusqu'à l'appel de la prière de l'aube. « L'espace culturel de la place Jemaa el-Fna » a été inscrit par l’UNESCO en 2001 en tant que patrimoine culturel immatériel de l'humanité1.
Elle se distingue aussi par des orateurs qui racontent des histoires ou vantent les mérites de produits magiques.





Maroc Ville  Marrakech.
Monument Menara
Menara
Aménagée sous la dynastie des Almohades, la Ménara est un vaste jardin planté d'oliviers à environ 45 min à pied de la place Jamaa El Fna.
Le Maroc mon chère pays ici vous trouvez des informations historiques et aussi un guide touristique sur le Maroc chaque jour j'aborde un sujet sur une ville un monument des hôtels les chose intéressant sur mon pays et qui le caractérise j'espère que ça serais utile pour les touristes et les fans de l'histoire.
Le Maroc, en forme longue le Royaume du Maroc, en arabe al-Maghribالمغرب et Al Mamlakatu'l-Maghribiya,المملكة المغربية, en berbère Lmaġrib, ⵍⵎⴰⵖⵔⵉⴱ et Tagldit n'Lmaġrib, ⵜⴰⴳⵍⴷⵉⵜ ⵏ ⵍⵎⴰⵖⵔⵉⴱ, ou encore leRoyaume chérifien, est un pays d'Afrique du Nord appartenant au Maghreb. Sa capitale politique est Rabatalors que la capitale économique et la plus grande ville du pays est Casablanca. Le pays est bordé par l’océan Atlantique à l’ouest, par l’Espagne, le détroit de Gibraltar et la mer Méditerranée au nord, par l’Algérie à l’est. Au sud, le Maroc est bordé par le Sahara Occidentalterritoire non autonome selon l’ONU, mais annexé majoritairement par le Maroc qui, de ce fait, contrôle notamment la partie sud de sa frontière avec laMauritanie. Le Maroc est membre de la Ligue des États arabes.

Le Maroc a pour régime politique une monarchie constitutionnelle dont le souverain actuel est le roi Mohammed VI, de la dynastie alaouite, établie depuis 1666 et l'une des plus anciennes du monde contemporain[réf. nécessaire]. Le Maroc est membre des organisations suivantes : Organisation des Nations uniesLigue arabeUnion du Maghreb arabeFrancophonie,Organisation de la conférence islamiqueGroupe des 77Union pour la MéditerranéeCommunauté des États sahélo-sahariens. Le Maroc est le seul pays africain à ne plus faire partie de l'Union africaine, mais peut bénéficier des services de cette organisation tels que les services de la banque africaine de développement. En 1987, le Maroc a tenté, sans succès, d'adhérer à la CEE, et s'est vu octroyer en 2008 un « statut avancé » auprès de l'UE8. Le 15 mai 2009, il a rejoint le Centre Nord-Sud du Conseil de l'Europe9. En juin 2004, en reconnaissance des liens étroits qui unissent les deux pays et en appréciation du soutien résolu du Maroc à la guerre contre le terrorisme, le président des États-Unis désigna le Maroc comme l'un des alliés majeurs hors-OTAN10.
Selon l'historien Bernard Lugan, c'est entre autres l'attrait des richesses provenant du commerce du Sud (Sahara) vers le Nord (l'Occident) qui va attirer les convoitises de diverses tribus avec pour ville carrefour Marrakech qui deviendra naturellement la capitale de diverses dynasties, en particulier celles venant du Sud (AlmoravidesAlmohadesSaadiens) ; toute l'histoire du Maroc (des Idrissides aux Alaouites) est ainsi marquée par le commerce des richesses du Sud vers le Nord. L'histoire et l'origine du Maroc furent, sont et seront marquées par le lien avec le Sahara11.
                                                                                  Sahara caravane